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Le SEO est adopté pour tous ceux qui souhaitent se lancer sur Internet. Incontournable pour augmenter sa visibilité en ligne et apparaître dans les premiers résultats d’un moteur de recherche comme Google, et même de s’afficher en première page Google, le SEO doit être travaillé sur l’intégralité du site Internet.

Perçu parfois comme une montagne à escalader, le référencement naturel effraie les novices. TPE, PME et jeunes acteurs du Web s’inquiètent de ne pas appliquer les bonnes méthodes dans leur optimisation. Ce guide  propose de faire le point sur les bases du référencement naturel pour améliorer la qualité de vos pages et augmenter le trafic de vos pages Web.

 

Quelle doit être la première étape d’un plan SEO structuré ?

La première étape d’un plan SEO structuré est une analyse de mots-clés et la recherche des intentions de recherches du public que vous souhaitez cibler.

Mais si la recherche de mots clés est primordiale, elle ne suffit pas à elle seule pour améliorer son référencement. Il existe de nombreuses autres étapes nécessaires pour avoir un bon SEO.

Découvrez ci-dessous notre liste des 32 étapes pour améliorer son référencement.

 

Qu’est-ce que le référencement naturel ?

Le référencement naturel, aussi appelé SEO (Search Engine Optimization) rassemble l’ensemble des techniques qui servent à optimiser un contenu pour le positionner naturellement dans les premières places des moteurs de recherche. S’il est souvent question de Google, n’oublions pas Yahoo ou Bing de Microsoft.

Attention, le contenu ne se réduit pas uniquement au texte : le référencement naturel s’applique sur tous les éléments publiés comme une image, une vidéo, des produits, des lieux, etc.

Le référencement naturel, le SEO, se distingue du SEA, c’est-à-dire le référencement payant, qui n’a donc de son côté plus rien de naturel.

 

Pourquoi faire du référencement naturel ?

Vous lancez un contenu, un produit, un site, un lieu, vous avez besoin de le faire connaître, donc d’avoir de la visibilité en ligne. Sur Internet, la concurrence est rude : on compte par exemple plus d’un milliard sep cent milles sites Internet (source : Statista).

Combien y a-t-il de sites Internet en France ?

Votre site a été réalisé par les meilleurs graphistes, votre contenu a été écrit par les plus belles plumes du monde… Cela ne suffit pas à le rendre visible.

Un internaute lance une recherche sur du contenu que vous traitez : si vous n’apparaissez pas dans les premiers résultats du moteur, vous avez peu de chance d’obtenir de la visite. Il est rare, en effet, que l’internaute aille plus loin que la seconde page des SERP. Il est donc nécessaire d’appliquer les règles de référencement web pour vous permettre d’être visible et facilement trouvable par l’internaute et par les algorithmes.

Quel est le taux de clic en fonction des positions dans Google ?

 

A SAVOIR : Quel est le taux de clic en fonction des positions dans Google ?

  • TOP 3 : entre 54 % et 59 % de clics
  • TOP 5 : entre 70% et 77% de clics
  • TOP 10 : 85 % à 90 % des clics
  • Ce qui laisse 10 % de clics pour l’ensemble des pages qui ne figurent pas en 1ere page de Google (Source : iProspect France)

 

Comment faire du référencement naturel ?

C’est une question qui est souvent posée et la réponse se trouve dans la question.

En effet, la meilleure méthode pour faire du référencement naturel est de faire les choses de façon naturelle. C’est-à-dire, ne pas chercher à optimiser ses contenus pour les moteurs de recherche, mais produire un contenu de qualité qui saura répondre aux intentions de recherche de vos cibles.

 

Est-ce que le référencement naturel demande du temps ?

Oui ! Les critères de Google sont nombreux (plus de 1000) à mettre en place. Votre stratégie de référencement s’annonce longue et va vous demander de mobiliser des ressources ! Les actions à mettre en place sont, elles aussi, importantes et demanderont l’intervention de plusieurs experts.

  • Audit SEO
  • Élaboration d’un plan d’action et des priorités à mettre en place
  • Travail des métadonnées sur toutes les pages
  • Rédaction et mise en ligne des articles et pages
  • Campagnes de Netlinking

Ces étapes clés font partie de votre travail de référencement. Une fois accompli, vous devrez attendre au moins 6 mois pour voir les résultats tomber sur les moteurs de recherche. En résumé, le référencement naturel demande beaucoup de patience.

EN SAVOIR PLUS : Combien de temps faut-il pour être référencé dans Google ?

 

Les 32 étapes pour améliorer son SEO

1 – Identifier les clients

Pour être bien référencé, il faut s’appuyer sur une stratégie de référencement et définir sa stratégie de référencement, c’est connaître sa cible.

Bien souvent, lorsqu’on envisage une stratégie de référencement naturel, on pense stratégie de mots clés. Il est aussi vrai que cela fait partie des premières étapes incontournables du SEO (Search Engine Optimisation).

Cependant, avant même la recherche de mots clés, il existe une étape qu’il est primordial de ne pas oublier. Cette étape est l’identification des cibles que l’on souhaite atteindre. Car, ce sont précisément ces cibles ou plus exactement leurs intentions de recherches qui vont guider notre recherche de mots clés et le rédactionnel à produire.

Ensuite et seulement ensuite, on pourra choisir ses mots-clés qui émanent des intentions de recherches des cibles retenues.

Bien connaître les intentions de recherche de vos cibles vous aidera également à structurer le contenu de votre site et à identifier les sujets.

Astuce : Pour vous aider à identifier les intentions de recherche de vos clients, partez des questions récurrentes qu’on vous pose. Interrogez votre service client ou vos commerciaux. Ces services disposent de précieuses informations bien souvent inexploitées.

 

2 – Identifier les pages à produire

Pour trouver des idées de sujets, inspirez-vous de ce qui a déjà été rédigé sur le sujet.

Vous pouvez utiliser la commande suivante dans Google.

Tapez le champ de recherche intitle:votre requête.

Cela vous permettra d’identifier toutes les pages déjà indexés sur cette requête. Repérer les sujets les plus pertinents et analysez la façon dont is sont traités. Cela vous donnera des idées.

Reproduisez cette opération sur tous les thèmes que vous souhaitez aborder sur votre site Internet puis lister toutes les pages et les articles à produire. Pour cela vous pouvez aussi élaborer un cahier des charges pour un meilleur SEO.

Je vous recommande d’utiliser un outil de mind mapping comme MindMeister par exemple. Cela vous permettra de structurer visuellement vos pages et de visualiser plus facilement les liens entre vos pages.

3 – Hiérarchiser les contenus

Une fois que vous avez listé vos pages et articles, définissez le rôle de chaque page

  • La money page : la page la plus importante pour votre business
  • Les pages de conversion : les pages destinées à transformer vos visiteurs en clients
  • Les pages qui répondent aux intentions de recherche de la cible : des pages destinées à acquérir du trafic organique et à ré-aiguiller ce trafic vers les pages de conversion ou la money page.
  • Les pages pilier : Destinées à fluidifier le maillage et la navigation.

4 – Trouver les mots-clés

Avant de vous lancer dans la rédaction de vos textes, il est important de trouver les bons mots clés.

Des outils existent pour vous fournir des listes de mots-clés pertinents et en connaître le niveau de difficulté (concurrence)

Citons par exemple :

  • Google Adwords Keyword Planner
  • SE Ranking
  • aHrefs
  • SEMRsuh

Astuce : Votre site est déjà en ligne et vous souhaitez ajouter de nouveaux contenus ou reprendre un contenu existant pour avoir un bon SEO ?

 

Vous pouvez grâce à Google Search Console trouver des pépites. Les fameux Low-Hanging Fruit Keywords, c’est à dire les mots-clés extrèmement compétitif sur lequel les pages de votre site remontent déjà dans Google mais qui ont une position insufisante pour générer beaucoup de visites. Faire remonter ses pages sur ces mots clés demandera peu d’effort et produira un résultat maximum

 

Pour repérer ces pépites, interessez-vous aux requêtes qui ont une position moyenne comprise entre 10 et 50 et qui ont des taux d’impressions importants.

Certains outils vous permettent d’obtenir des recherches associées à la requête principale, ce qui vous donnera des pistes de réflexion pour élaborer votre rédactionnel.

Notez qu’il est difficile de se positionner sur des mots-clés génériques, car bien souvent très concurrentiels. Une alternative alors est de se tourner vers les recherches associées.

En savoir plus : Comment construire sa stratégie de mots clés

 

5 – Repérer la concurrence

Pour mesurer la difficulté d’un mot clé, il est important d’auditeur la concurrence.

Effectuez une recherche sur Google sur les mots clés que vous avez retenus et analysez les résultats de la première page.

Mesurez l’autorité des domaines qui ressortent dans le TOP 10. Plus l’autorité d’un concurrent sera élevé et plus il sera difficile de lui passer devant.

Prenez ensuite la décision de retenir ou d’éliminer un mot clé en fonction de la difficulté que vous identifierez. En effet, à un certain niveau de difficulté, il sera plus facile et rentable de se focaliser sur des mots clés moins concurrentiels quand bien même, il serait moins recherché.

Autre méthode pour estimer la difficulté d’un mot clés, mesurer le nombre de résultats sur le mot clé. Pour cela, vous pouvez utiliser la requête suivante :

Tapez dans Google « allintitle:mot clés » Cette requête affichera tous les résultats qui contiennent le mot-clé dans la balise titre. En partant du principe que les textes ayant le mot clés dans le titre sont des pages optimisées pour ce mot clé on peut identifier la difficulté d’un mot clé en regardant le nombre de résultats qui ressortent :

  • En dessous de 5000 résultats = la concurrence est considérée comme basse
  • Entre 5000 et 10 000 résultats = Elle est moyenne
  • Au-dessus de 10 000 résultats = Nous sommes face à une forte concurrence

6 – Rédiger un contenu de qualité

En référencement naturel, c’est la qualité qui paye

Un texte de qualité est avant tout un texte qui rend votre site intéressant et utile. Évitez pour cela de produire du contenu qui n’a aucune valeur ajoutée.

Construisez votre propos à partir de votre propre expertise ou expérience et produisez un contenu original et unique fondé sur cette expertise.

Restez cohérent avec vos recherches de sujets et les intentions de recherche que vous avez préalablement identifiées.

Lire également : Les erreurs de contenu SEO qui peuvent nuire à votre classement

 

7 – Bien structurer le contenu

S’il est important que vos pages soient bien rédigées, il est tout aussi important qu’ils soient bien structurés.

Organisez clairement vos sujets. Garder à l’esprit que ce contenu doit être optimisé pour les lecteurs de votre site et non pas pour les moteurs de recherche. Il est important de conserver le ton le plus naturel possible.

A lire : Comment optimiser la structure de son site pour le SEO ?

Une règle en référencement naturel : rester naturel !

 

8 – Travailler votre introduction

Si votre article répond à une question précise, portez une attention toute particulière à votre introduction. Elle va déterminer si le lecteur va poursuivre ou non sa lecture.

L’introduction doit rester simple et comporter 3 sections bien définies :

  • Résumer la problématique en y introduisant la requête cible ou l’intention de recherche.
  • Faire une promesse de résolution de cette problématique pour inciter à la lecture du contenu
  • Évoquer les résultats qu’il est possible d’envisager une fois que la problématique sera résolue.

9 – Soigner la conclusion

Toujours au cas où votre contenu répondrait à une question précise, ne négligez surtout pas la conclusion, car elle répondra à la promesse que vous avez faite dans l’introduction.

On doit donc trouver dans la conclusion une réponse à la question de départ.

Cette réponse doit être simple à comprendre et accessible à votre cible.

10 – Bien répartir la requête dans le contenu

La requête sur laquelle vous souhaitez être référencé doit harmonieusement être répartie dans tout le contenu.

L’intégralité du contenu doit répondre à la requête et pas seulement quelques paragraphes.

11 -Optimiser la diversité du vocabulaire

Concernant la diversité du vocabulaire. Il est intéressant de noter qu’elle baisse au fur et à mesure que l’on monte dans les SERP.

En effet, un texte naturellement écrit sans objectif de positionnement utilisera naturellement un vocabulaire plus diversifié.

Tandis qu’un texte optimisé pour se positionner dans les premières positions de la SERP sera beaucoup plus resserré sémantiquement, c’est-à-dire qu’il disposera d’un vocabulaire moins diversifié.

Conclusion, les contenus les mieux positionnés ont en moyenne moins de vocabulaire que les sites moins bien positionnés.

12 – Trouver la bonne taille de texte

Contrairement à beaucoup d’idées reçues sur la taille des textes, la performance d’un contenu est inversement corrélée à sa taille et non l’inverse.

C’est ce que nous révèle une étude menée par Sylvain Peyronnet et son équipe sur les critères de ranking d’un site Internet.

 

En effet, l’étude remonte une information très surprenante concernant la taille des textes. Si entre le TOP 50 et le TOP 5 la taille est à peu près stable avec une légère augmentation, elle chute considérablement lorsqu’on passe dans le TOP 3.

En d’autres termes, les textes les mieux positionnés sont toujours des textes substantiellement et significativement plus courts avec un vocabulaire plus restreint.

13 – Adapter les scores d’optimisation SEO et de suroptimisation SEO

Lorsqu’on rédige du contenu, il y a deux indices à surveiller : le SOSEO (le score d’optimisation sémantique) et le DSEO, c’est-à-dire l’indice de suroptimisation d’une page

Pour mesurer ces indices, vous pouvez utiliser un outil comme YourText Guru.

Les contenus les mieux classés sur les mots-clés compétitifs sont le plus optimisés.

Notez cependant que ces scores sont à prendre de manière relative et non absolue. En effet, il est intéressant de rechercher un score SEO légèrement plus haut et un score DSEO légèrement plus bas que la concurrence.

En aucun cas, il ne faudra chercher à obtenir un score SEO maximal, cela pourrait être contre-productif. Google pourrait considérer le contenu avec un score trop élevé par rapport à la concurrence comme étant une singularité. La conséquence serait un déclassement du contenu.

Sachez toutefois que travailler sa sémantique est un critère déterminant pour figurer dans le top 50 jusqu’au le top 20.

En revanche, lorsqu’on arrive dans les dix premiers, l’amélioration du score d’optimisation moyen n’influencera que peu le classement. La présence dans le TOP 3 et le TOP 5 n’est plus déterminée par l’optimisation sémantique seule, mais par d’autres critères comme l’autorité du site et de la page par exemple.

14 – Surveiller la lisibilité

Conserver un langage clair et intelligible. Privilégiez les paragraphes et les phrases courtes. Optez pour des textes faciles à lire. Voici un outil pour mesurer l’indice de lisibilité d’un texte. http://www.scolarius.com/submissions/112901 . Essayez de ne pas dépasser le niveau collégial.

15 – Prendre garde au contenu dupliqué

Si cela est improbable dans le cadre de rédaction d’article de blog, notez que le Duplicate Content ou le Near Duplicate, c’est-à-dire du contenu dupliqué ou très similaire, est un risque plausible lorsqu’on s’attaque à la rédaction de fiches produits notamment.

Veillez à varier les textes de vos produits, de vos catégories, même si elles traitent de sujets similaires.

16 – Accrocher le regard

Pensez à créer un contenu qui accroche l’œil, pour cela, vous pouvez jouer sans en abuser sur :

  • Les titres
  • Les images
  • Les block quote
  • Les graphiques
  • Les videos

N’abusez pas des éléments visuels, ils doivent enrichir le propos, pas le noyer. En référencement naturel, la tempérance paye souvent bien plus que l’excès.

Google recommande également d’éviter de distraite le lecteur avec de la publicité.

17 – Ajouter des liens externes de qualité

Bien choisir ses liens externes : Ne pas oublier d’enrichir votre contenu avec des liens externes. Ces liens peuvent venir compléter les sujets que vous abordez, indiquer des sources ou renvoyer vers des services ou des outils utiles pouvant répondre à la problématique traitée.

18 – Bien choisir ses liens internes

Soigner la sélection de liens interne que vous allez ajouter à votre contenu. Le choix des liens doit être logique et naturel. Évitez absolument toute suroptimisation ou volume trop important.

John Mueller de chez Google a expliqué qu’il est contre productif d’avoir trop de liens internes dans les pages d’un site. Trop de liens internes mal contextualisés peuvent nuire à la compréhension que peut avoir Google de la structure du site et du contexte de chaque page.

Pour la plupart des sujets traités, un volume de 5 liens pour un article de 700 mots est suffisant.

Le texte du lien est également très important. Évitez des textes d’ancrage génériques comme « article » ou « cliquez ici ».

Évitez également des liens complètement hors sujet avec le sujet traité.

19 – Pour bien choisir vos liens internes, voici deux méthodes :**

Via Google

Utiliser l’instruction site:votresite.com + requête” dans le champ de recherche de Google.

Via Ahrefs

et son outil : Internal link opportunities .

20 – Surveiller les liens brisés

Les liens brisés sur un site pénalisent le référencement de ce dernier. Des liens brisés peuvent apparaitre suite à un contenu supprimé ou que lorsque son URL a été changée.

Pour repérer ces liens brisés, il existe plusieurs méthodes.

La première consiste à crawler l’intégralité du site avec des outils comme Ahrefs, SE Ranking ou SEM Rush

Une seconde méthode plus économique ; si votre site Internet est sous WordPress par exemple ; consiste à installer un plugin qui va identifier les liens brisés.

Un plugin qui fonctionne très bien est broken link shaker

21 – Acquérir des liens externes

L’acquisition de liens externes vous permettra d’augmenter la popularité d’un site et des pages vers lesquelles pointent les liens.

Toujours selon la même étude menée par Sylvain Peyronnet (Créateur de YourTextGuru et Babbar) sur les critères de ranking des pages web. Il ressort de cette étude que plus un contenu est positionné haut dans la SERP plus les valeurs de popularité sont hautes.

Mais, il y a un autre paramètre qui est très important et qui détermine la performance dans la SERP : Le Page Rank Thématique, c’est-à-dire le profil et la qualité des liens qui pointent vers le site.

Statistiquement, les résultats qui remontent dans le TOP 5 ont des profils de liens extrêmement thématisés, c’est-à-dire des liens provenant de sites traitants du même sujet ou d’une thématique proche de celle de votre site Internet.

Enfin dernier point vers quel contenu faire pointer les liens ?

Pour de la recherche générique, la puissance du domaine suffit, et donc avoir un linking vers la homepage est suffisant pour avoir de belles positions.

En revanche, sur des mots-clés compétitifs, vous devez travailler la popularité au niveau de la page en plus de celle du domaine.

Pour améliorer la popularité de votre site, vous pouvez favoriser :

  • L’acquisition de backlinks à partir de sites web très en lien avec la thématique de votre site Internet.
  • La production de contenu qui sera relayé (infographie, étude, vidéo, tutoriel, …) pouvant générer du linkbaiting
  • Des liens sur les réseaux sociaux

N’oubliez pas que des pages attractives et du contenu de qualité seront partagés plus facilement par les Internautes. Travailler la qualité du contenu est donc un moyen d’obtenir des liens entrants de qualité.

22 – Réduire la taille des images

Impact des images sur les performances WordPress

En moyenne, les images représentent 40 % à 60 % de la taille d’une page. Selon comme elles sont optimisées, elles peuvent à elles seules pénaliser complètement un contenu, même de qualité.

En diminuant le temps de chargement, vous proposez une meilleure expérience utilisateur (diminution du taux de rebond) et améliorez les Core Web Vitals de la page.

Depuis la prise en compte de la qualité des Core Web Vitals par Google, un site sera d’autant mieux référencé que ces temps de chargement sur mobile et ordinateur seront rapides.

Choisissez le bon format pour vos images. Privilégiez les nouveaux formats de compression bien plus performants que les formats classiques (jpeg, png) comme le JPEG XR et le WebP.

Redimensionnez les images pour que leur taille soit adaptée au web. Une bonne pratique est de redimensionner la taille de l’image pour qu’elle soit 2 à 3 fois supérieure à la taille d’affichage sur le site Internet.

Installez une extension d’optimisation d’image permettra d’optimiser la compression des images automatiquement. Cela permettra d’économiser de précieux octets supplémentaires.

Voici quelques plugins d’optimisation efficaces.

Astuce : Comment renommer ses photos pour optimiser son SEO ?

Nommez vos fichiers avec le mot clés en rapport avec le contenu de la page sur laquelle l’image sera utilisée.

Évitez les caractères spéciaux, utilisez des tirets à la place des espaces. Une convention de nommage qui ajoutera de la lisibilité pour vos fichiers image.

23 – Ajouter l’attribut ALT aux images

Les robots des moteurs de recherche ne peuvent pas comprendre le contenu d’une image.

Pour les aider à contextualiser vos images, il est important d’associer une balise ALT à chaque image

Penser à introduire les mots clés importants en rapport avec le contenu dans les ALT des images.

Astuce SEO : Pour améliorer l’indexation des images. En plus de la balise ALT, penser à renommer les images avec un titre en cohérence avec ce que l’image illustre.

 

24 – Ajouter des meta description

Une fois le texte bien structuré et rédigé, habillez-le avec un balisage de qualité qui permettra à Google lorsqu’il scannera votre contenu de bien comprendre de quoi il s’agit précisément.

La balise titre ou title

À ne pas confondre avec la balise H1, la balise titre est celle qui contient le titre qui s’affiche dans le moteur recherche. Le titre doit donc :

SEO - Balise titre

  • Être attractif pour attirer le visiteur
  • Être court (65 caractères) pour ne pas être coupé
  • Contenir le mot-clé

La balise Meta description

Elle doit être attractive et bien résumer le contenu. Une description attrayante incitera l’internaute à cliquer sur votre lien plutôt qu’un autre. Cela participera à augmenter votre taux de clic organique (CTR Organique)

SEO - Balise description

Et bien sûr, si possible inclure le mot-clé principal. Attention, à ne pas dépasser les 150 caractères.

25 – Choisir les bonnes balise Hn

Les balises Hn

Ces balises encadrent les titres et les sous-titres. Elles aident les utilisateurs dans leur lecture, mais également les robots à bien comprendre le contenu. Faites-y figurer des mots-clés ciblés.

IMPORTANT : il est nécessaire d’éviter les sauts de balise (ex passer d’une balise H1 à une balise H3) ainsi que les balises isolées. Il est également important de ne pas avoir plus d’une balise H1 ou sein d’une même page. Et l’absence de balise H1 est également tout aussi préjudiciable.

Le critère qui doit déterminer le niveau d’une balise doit être sa position dans la hiérarchie et non un critère de mise en forme. C’est un écueil souvent rencontré.

Si, par exemple, vous devez placer une nouvelle balise et que la balise précédente est une balise H1 choisissez une balise H2. Ne choisissez pas une balise H3 ou pire H4 ou H5 parce que la mise en forme est plus adaptée.

Si la mise en forme de la balise H2 ne convient pas, retravaillez le style CSS

A lire : Quelles balises utiliser pour le SEO ?

 

26 – Optimiser l’URL des pages

L’URL de chaque page doit être plutôt courte (80 caractères). Si elle comprend le mot-clé principal, c’est un plus et si elle résume le contenu de la page, c’est encore mieux.

Il est préconisé de ne pas utiliser ni d’accent ni de caractères spéciaux.

27 – Diversifier les formats du contenu produit

Ne vous contentez pas d’un seul format pour votre contenu.

Une fois le contenu rédigé, vous pouvez assez facilement diversifier les formats à partir de ce que vous avez déjà créé.

Par exemple, vous pouvez envisager de reprendre un ou plusieurs articles et de les réutiliser sous forme de newsletter.

Vous pouvez également agréger votre contenu pour en faire un livre blanc

Ou encore, créez des vidéos qui reprennent les sujets que vous abordez dans vos articles.

28 – Adapter le site pour les mobiles

Notez que c’est la version mobile d’un site qui fixe les règles maintenant.

C’est-à-dire que si votre contenu n’est pas responsive, et mobile friendly, vous aurez du mal à accrocher la première page de Google.

Veillez donc à vérifier ce que donnent vos pages lu sur un téléphone ou une tablette. Est-ce que le texte est lisible, est-ce que les images sont peu optimisées ? Est-ce que les temps de chargement sont acceptables ? etc.

Google Pagespeed Insights

Vous pouvez également vous aider de l’outil Google PageSpeed Insights pour identifier les pistes d’amélioration d’affichage de la page.

29 -Sécuriser son site en HTTPS

Installer le protocole HTTPS est une mesure fortement recommandée par Google.

Les navigateurs alertent explicitement l’internaute si un site n’est pas sécurisé. Ils sensibilisent l’utilisateur en cas de site non sécurisé au risque qu’il prend en consultant le site. Cela a un impact direct sur le taux de consultation d’un contenu

En sécurisant son site, on envoie à Google un signal positif ce qui permet d’accéder à un meilleur référencement et les navigateurs ne pénalise pas le site avec des messages d’avertissement.

 

30 – Créer un Sitemap

Il y a deux formes de sitemap. Le fichier sitemap au format XML, qui se trouve à la racine du site et qui indique aux moteurs de recherche les pages à indexer.

Le sitemap ou plan du site sous forme de page qui contient un lien vers toutes les pages importantes du site

Le fichier sitemap souvent généré automatiquement est à renseigner dans les outils comme Google Search Console ou bien Bing Webmaster Tools. Il aidera les robots à mieux parcourir votre site lors de l’indexation.

Le sitemap au format page quant à lui est un complément au fichier sitemap. Il est très utile notamment lorsqu’un site souffre d’un problème de maillage interne. Typiquement lorsque des pages sont trop profondes. Vous pouvez remédier à ce problème en créant un sitemap au format page et le rendre accessible à partir de la homepage. Ainsi, tous vos contenus importants seront accessibles en un maximum de deux clics.

31 – Créer un fichier robots.txt

Pour que l’indexation des pages se fasse de la manière la plus efficace possible, veillez à bien optimiser votre fichier robots.txt.

Google ne dispose pas des ressources illimitées pour crawler les sites Internet. Pour économiser ses ressources, il attribue à un site Internet un budget de crawl (crawl budget en anglais) qui correspond au nombre de pages que le moteur de recherche va explorer sur votre site web.

Pour bien rentabiliser ce budget, il est important de demander au moteur de recherche de ne se focaliser uniquement sur les pages importantes.

C’est précisément le rôle du fichier robots.txt

Ce fichier permet d’indiquer aux robots ce qui doit être crawlé sur le site et ce qui ne doit pas l’être.

Indiquer les bonnes règles d’indexation permettra d’utiliser l’intégralité du budget de crawl pour le contenu important

 

32 – Surveiller la cannibalisation des pages

La cannibalisation SEO est ce que l’on nomme lorsque deux pages se concurrencent sur le même mot clé.

Il est important de surveiller cela pour plusieurs raisons :

Une page la moins légitime ou qui converti moins pourrait remonter en premier dans les moteurs de recherche et faire concurrence à une page beaucoup plus efficace.

Une page avec un contenu sémantique plus riche pourrait concurrencer une page avec une popularité beaucoup plus importante, mais avec un contenu sémantique plus faible. Ce qui fera plafonner ces deux pages à un certain niveau de la SERP.

D’ailleurs la position de Google est très claire à ce sujet. John Mueller (Google) nous indique que le moteur de recherche préfère voir des pages moins nombreuses, mais de meilleures qualités. Il recommande de ne pas diluer son contenu.

 

Comment découvrir les pages en concurrence ?

Il existe des outils comme SEMRush ou Ahrefs, mais Google Search Console fait parfaitement l’affaire. Pour cela, sélectionner juste un mot clés dans l’onglet Performances et vérifier si plusieurs pages sont indexés sur ce mot clés ou non.

 

Que faire si deux pages sont en concurrence ?

Il existe plusieurs solutions lorsque du contenu cannibalisé est identifié, voici quelques pistes :

  • Fusionner les textes et mettre en place une redirection.
  • Utiliser une balise canonical
  • Supprimez l’une des deux pages et mettez en place une redirection 301 sur l’URL qui sera supprimée.

 

Pour éviter de produire du contenu qui risque de cannibaliser un contenu déjà produit, vous pouvez taper la requête suivante dans Google :

site:votresite.com intitle:$expression

Cela permettra d’identifier toutes les pages déjà indexés sur l’expression recherchée.

 

Conclusion

Optimiser son référencement naturel n’est pas si compliqué que ça. Il est en revanche nécessaire d’adopter une méthode rigoureuse, car de nombreuses étapes incontournables sont à mettre en place.

Une fois chaque étape maitrisée et mise en application, vous aurez alors la satisfaction de voir le trafic de votre blog ou de votre site Internet d’entreprise grimper en flèche.

Pensez à commenter si vous pensez que j’ai oublié certaines étapes.